
Liban, des guerres et des hommes
FIPA et Étoile de la SCAM 2021
TéléObs : “Un cinéaste rare”.
Le Nouvel Observateur : "Le magnifique travail de Frédéric Laffont sur l’interminable guerre
du Liban (1975-1990) nous permet de regarder un documentaire hors du commun. Il fera date. Laffont lui a consacré plusieurs années de sa vie. Le film en trois parties qui en résulte ne ressemble à aucun autre. Il prouve que la télévision peut montrer l’invisible. (…)
C’est cet invisible là que Laffont est parvenu à saisir, à filmer, à nous faire toucher du doigt.
J’y vois la réussite prodigieuse de ce film."
Télé Star : "Émouvant et fascinant."
Le Monde : "Un film remarquable qui plonge au plus intime et où se lit tout l’attachement humaniste d’un homme pour un pays usé par des années de déchirures meurtrières."
AFP : "Un brillant documentaire".
Le Pélerin : "Rompu au Proche-Orient, Frédéric Laffont a écarté hommes politiques et spécialistes pour privilégier la parole “ordinaire”, l’humain. Un grand documentaire."
La Croix : "Pendant trois ans, Frédéric Laffont a recueilli la mémoire des Libanais.
Sa remarquable série documentaire se veut un message de paix et d’espoir. Le souci de rendre aux Libanais la parole qui leur a été confisquée est au cœur de la série documentaire en trois volets de Frédéric Laffont. Sans analyse ni commentaire en voix off, cette mosaïque d’un peuple déchiré par la guerre acquiert une dimension universelle."
Ouest-France : “Voilà un grand film, sur le fond et la forme. Pas le récit chronologique du Liban depuis 1975, mais le regard de chrétiens, musulmans, libraire, chauffeur de taxi, homme d’affaires…”
Télérama, à propos du troisième épisode : “Frédéric Laffont clôt sa fresque libanaise en récoltant toujours ces fragments subjectifs, qui dialoguent pour esquisser une Histoire encore refusée
par l’Etat. Cet ultime volet est d’une incroyable force, véritable œuvre
de paix où ceux qui ont tenu les armes, qu’ils soient combattant palestinien, milicien chiite
ou dignitaire des Forces libanaises, crient l’inutilité de la guerre.
Et reconnaissent tous avoir perdu.”
Des films de Frédéric Laffont
Montage Catherine Rascon
Durée: 3 X 52'
© Artline films, Camera Magica, INA, 2012
Ce premier chapitre balaie une période de sept ans de guerres successives, d’avril 1975 au bombardement de Beyrouth par l'armée israélienne en 1982. Une somme de témoignages compose le film, comme une mosaïque fragmentée révélant la complexité du conflit.
Ce deuxième épisode s'intéresse à la période la plus dure des conflits successifs qui ont ravagé le Liban, depuis l'invasion de Beyrouth par l'armée israélienne en 1982, jusqu'à un accord de fin de guerre signé en 1989.
Les témoignages sont resserrés notamment autour de l'horreur des combats fratricides.
Ce dernier chapitre est consacré à la période de reconstruction et de paix fragile, entre 1990 et 2012.
Les stigmates des guerres sont encore bien visibles.